"Toujours plus de transparence pour continuer à mériter la confiance"
La confiance est assurément un pilier déterminant du contrat de soins et de la relation personnelle, médicale et humaine entre le chirurgien-dentiste et ses patients, encore libres de leur choix.
Confiance parce les patients reconnaissent les praticiens
- compétents et disponibles pour mettre en œuvre le traitement le plus approprié,
- indépendants de tout pouvoir, mais aussi pleinement responsables de leurs actes,
Confiance parce que le chirurgien-dentiste informe ses patients préalablement afin de leur permettre le choix de leur traitement, choix trop souvent à eux imposé par des critères économiques liés à la prise en charge notoirement insuffisante des organismes sociaux, notamment pour les traitements prothétiques et orthodontiques.
Mais cette confiance individuelle méritée peut soudain être altérée collectivement, à l'encontre de la profession dentaire, à partir d'informations tronquées, souvent infondées, jouant trop souvent avec les inquiétudes légitimes et l'émotion du public pour créer de l'actualité médiatique.
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La réflexion du mois : l'après ADF
Il y eu des communications intéressantes et d'autres qui l'ont été beaucoup moins : j'ai évité de suivre toutes celles qui ont été consacrées aux péri implantites qui, aux yeux de beaucoup font désormais partie de notre exercice quotidien en tant que complications. Désolé mais pour ma part, qui ne suis que réalisateur de prothèses implanto portées, tous les implantologistes qui ont posé des implants sur mes patients m'ont toujours évité ce type de complications, sans doute parce qu'ils conjuguaient parodontologie et implantologie en créant toujours de la gencive kératinisée dans les secteurs implantés et sans doute aussi parce que, la prothèse implanto-portée ne doit pas se résumer à, comme certains ont pu l'écrire à des séances de vissage et dévissage mais surtout à des conceptions réfléchies avec des réglages d'occlusion et des préservations de la gencive péri implantaire.
Les conférenciers étrangers (canadiens et belges) ont été très brillants, confirmant une fois de plus que l'Europe et le Québec avaient des idées communes quant à la dentisterie pérenne.
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